Le loft s’articule autour d’un open space où la cheminée massive ancre l'espace principal.
Le bâtiment fait cohabiter trois structures d’époques différentes pour faire naître une surface globale de 730 m². Le bureau Emerick Architects garde la structure originelle en ajoutant un penthouse et un jardin sur le toit. Avec près de 180 m² de panneaux solaires, ce loft écoénergétique peut se vanter d’une quasi autonomie. Cet habitat fait la part belle au mobilier et objets chinés, aux gestes artisanaux pour les balustrades, les portes, les escaliers, les luminaires… Une parfaite adéquation entre modernité, tradition et écologie.
Le loft s’articule autour d’un open space où la cheminée massive ancre l’espace principal.Des baies de 4 mètres de hauteur, fabriquées sur mesure en écho à celles des usines à cadre d’acier des années 1930, ouvrent l’ensemble du loft sur l’extérieur.L’éclairage sur rail reproduit un ancien système de gicleurs, ponctué de têtes de gicleurs antiques et de manomètres pour un style décoratif vintage.Le mobilier vintage a été récupéré ou fabriqué localement. Les tables basses ont été conçues à partir de poutres de ferme en bois.La terrasse et le jardin permettent la plantation de plantes aromatiques à portée de main.
Une imposante porte coulissante sépare le salon de la chambre.
Dans la salle de bains, un urinoir d’époque avec une belle patine rouillée a été transformé en vasque.
L’escalier créé sur mesure par des artisans de Portland.
Le bâtiment avant les travaux de transformation en loft.